aux heures perdues
mars-mai 2020
Confinée dans mon appartement nantais, je jongle avec les émotions : la peur, la colère, ce sentiment d'inutilité et l'espoir d'un renouveau.
Les nuits et les jours passent, je me sens privilégiée de passer du temps à contempler le silence et le printemps qui arrive malgré tout.
Je livre, dans le huis clos de cet espace, en me mettant en scène ou avec la Nature, une vision émotionnelle et poétique de ces moments.















